Voici ma poésie

Invité

.

La divine lumière

J’ai rêvé bien souvent
D’instants merveilleux
Quelque chose de charmant
Se passait sous mes yeux

Quand la nuit nous effleure
Je soulevais son voile
Sous la lune qui pleure
Faisant naître l’étoile.

J’entendais dans le vent
Une voix angélique
Et l’écho du néant
Lui donner la réplique

De sa mélancolie
Je tirais le soleil
Mon brin de fantaisie
Chevauchait l’arc-en-ciel.

Quand ce doux songe
Sommeille sous ma paupière
En mon cœur se prolonge
Sa divine lumière

.

Invité

.

Mon seul désir, te voir sourire...

Mon seul désir, te voir à nouveau sourire
Laisse-moi te redonner goût à la vie
Toi la pauvresse qui voulu mourir
Ma belle et charmante Sylvie

Pour qu'à la vie, tu reviennes
Il fallu que les pompiers interviennent
Avalant les médicaments de ta salle de bain
Sûr que pour toi, il n'y avait plus de lendemain

Ta grande-sœur, connaissant bien tes misères
Arriva à temps pour faire le nécessaire
Sachant que je veillerai bien sur toi
Par la suite, elle te confia à moi

Déjà huit ans le pari est gagné
Cette folie je sais, est oubliée
De l'avoir sauvé du désespoir
Je pense avoir fait mon devoir.

Novembre 2016

.

Invité

.

Tendre jeunesse...

Au temps de ma tendre jeunesse
Pour moi, la seule ivresse
C'était les baignades au Cosson*
Petite rivière au drôle de nom

Presque tous les jours après l'école
Quand nous n'avions pas de colle
On se retrouvait tous près de l'eau
On y venait à pied, d'autres à vélo

C'est même là que j'appris à nager
Les grands nous apprenaient les dangers
L'eau n'était pas bien profonde
C'était suffisant pour ce petit monde

Aux cabines de bains toutes proches
On prenait une douche pour être propre
Puis, un jour, une pancarte annonçait
'Baignade interdite,' plus personne ne venait

La pollution en était la cause
Il nous fallait trouver autre chose
Comme nous étions devenus grands
Ils nous fallaient d'autres amusements

Nous avions l'age de draguer les filles
Mais, l'armée nous appelait, il fallait partir
Adieu notre belle jeunesse insouciante
Arrivait pour nous notre première souffrance

*Cosson, rivière traversant mon village

.

Invité

.

Notre amour est pur

Quand nous pensions mourir
Car, nous n'avions plus d'avenir,
L'amour, nous a permis de revivre
Et surtout, de ne plus jamais souffrir.

Jamais nous ne pourrons nous séparer
Nous serons ensemble pour l'éternité
Même, s'il ne reste que de l'amitié,
Notre amour est trop bien ancré.

Pour l'instant, c'est un amour pur
Qui, depuis notre rencontre dure
De cela, nous en sommes sure
Il n'y aura jamais de rupture.

.

Invité

.

Le banc de pierre

Au bord du chemin est un banc de pierre
Le vent sur le canal fait juste une ride
Des pétales volent comme l’éphéméride
Que cette place m’est douce et familière !

Quand je contemple le grand mur austère
Où de l’autre côté j’en invente le décor
Ici la nature fait vibrer tous les accords
Je crois au paradis et j’en oublie l’enfer.

Tout au long voici des grappes de lierre
De chèvrefeuille aux tiges entrelacées
Dont le parfum embaume mes pensées
Indolentes pendant à chaque meurtrière.

Le haut mur me semble alors une étagère
Qui soutiendrait précieusement les cieux
L’âme du ciel paraît à mon regard radieux
Comme une fenêtre ouverte toute entière.

Et quand la pluie fait pleurer le lierre
Ici goutte à goutte sur l’herbe reverdie
Si ingénument l’escargot est de sortie,
Au bord du chemin le banc est solitaire.

.

Invité

.

Un poème posté est bouquet de fleurs envoyé

Pour ma vivi, un poème posté
Est bouquet de fleurs envoyé
Arrosé par ses pleurs versées
Jamais, elles ne seront fanées

C'est bien sûr, des larmes de bonheur
Chaque lecture lui ravive le cœur
Adorant mes petites douceurs
Qui éloigne ses douleurs

J'aurai toujours de belles pensées pour ma chérie
Tant que Dieu me donnera un souffle de vie
Le soir, sur le clavier, ce n'est que folie
Avec moi, à la vie, enfin elle sourit

.

Invité

.

L’espace d’un songe

Voici l’aube qui s’étire et s’allonge
Quand la pâleur de son humble rayon
Lentement traverse mon songe.

Quelqu’un murmure dans mes pensées
Versant pour apaiser mon cœur
Sur mon front des illusions ailées.

Et je revois mon plus jeune âge
Mais hélas une main empressée
Brusquement tourne la page.

J’entends des pas dans mon sommeil
Et prête l’oreille à toutes mes solitudes
Quand le matin embrasse mon réveil.

Dans le jour que le soleil enflamme
L’air embaume les senteurs du jardin
Mais qui donc a visité mon âme.

.

Invité

.

Sous la croix

Où grandit l'herbe folle que le soleil arrose
Quand un oiseau s'envole et bientôt s'y repose
Se dresse d'un air serein là, une croix de fer
Au détour d'un chemin sur un socle de pierre

Quelqu'un avait posé de misérables fleurs
Il avait dû prier y mettant tout son cœur
Qu'avait-il demandé en ses douces paroles
Va-t-il être exaucé pour de simples corolles ?

Je n'avais pas d'obole, mais juste la pitié
A la sainte auréole je me suis adressé
Pour ma félicité mon seul vœu en prière
Faites qu'il soit écouté ! J'ai vu une lumière

A cet instant j'ai eu une illusion subite
Du beau lieu inconnu là où les anges habitent
C'est ainsi qu'à mes yeux ce rayon fut jeté
Par la porte des cieux, restée entrebâillée.

.

Invité

.

Le chemin de l’amour est si étroit qu’on ne peut
y passer à deux, à moins de ne faire qu’un.

Il y a si longtemps que nous nous aimons
Que même le plus terrible des démons
Ne pourra éteindre la flamme
Que nos corps réclament

Toi et moi ne font qu'un
Nous suivons le même chemin
Celui que nous avons pris ensemble
On se complète, s'accepte et se ressemble

Je te porte aux nues, soit et reste ma gloire
Loin de moi, que tu ne sois que provisoire
Je me remplis de ton amour tel un réservoir
Te perdre serais alors un immense désespoir

Ma vie, n'aurait plus de raisons d'être vécue
Mon âme serait si triste, mon cœur à nu
Je dois oublier ces vilaines pensées
Car on ne fait que s'aimer

Ce n'est pas bien difficile
Avec toi, je suis vraiment docile
C'est vrai que tu fais tout de ton côté,
Que toujours, près de toi, j'ai envie de rester.

.

Invité

.

Vers l'aube

J’aimerai t’avoir toujours près de moi
Car, être seul
C’est comme s'il tombait sur ma joie
Un linceul

Je mettrai un doigt là sur ta bouche
Et ce soir-là
Nous verrons le soleil qui se couche
Au loin là-bas

Nous écouterons les bruits de la nuit
Chaque instant
L’un contre l’autre dans l’herbe assis
Bien sagement

J’entendrai seulement battre ton cœur
Près du mien
Tu prendras ma main comme une sœur
Dans ta main

Nous regarderons l’aube dans nos yeux
Où elle se noie
Elle n’appartiendrait qu’à nous deux
Et toi à moi

Est-ce que les étoiles vont par deux
Sans chagrin
Lorsqu’elles s’éteignent peu à peu
Dans le matin ?

.

Invité

L'héritage

Quand j'atteindrai mon plus grand âge,
Je vous léguerai en simple héritage,
De ma poésie, mes plus belles pages,
De la terre, quitterai le rivage.

Me retournant, je verrai mon sillage,
Voici les empreintes de mon passage,
Ma main aura traduit mon langage,
Je repartirai vers un autre paysage.

En chaque poème est un message,
Pour vous tous qui êtes si sages,
De vous j'emporterai une belle image
Tout là haut, abrité des orages

Ma voix fera un très long voyage,
Vous ne l'entendrez plus, dommage !
Me rendant un dernier hommage
Resterons mes œuvres en héritage.

Invité

.

Quelques fleurs

J’allais suivre son cœur
En mon âme bénie
Sommeillaient en douceur
La grâce et l’harmonie.

Tous les oiseaux disaient
Voilà celui qui chantonne
Et avec moi sifflaient
Même les jours d’automne

Où croissent les herbes folles
Partout le long des prés
L’air semait des corolles
Sous mes pas embaumés.

J’allais cueillir des fleurs
Et mon âme égarée
Pour vaincre ses douleurs
Restait agenouillée.

.

Invité

.

Tes sourires sont mes pleurs

Tes sourires sont mes pleurs
Car, je mets tout mon coeur
Pour te prouver chaque soir
Que nous deux c'est l'espoir

Oui, tous ses poèmes pour toi
Ne sont que plaisir pour moi
Bien sûr, que je suis heureux
De toi, je suis trop amoureux

Tu réponds bien à mon amour
Pour ça, je t'aimerais toujours
Il ne fallait surtout pas louper
L'occasion de nous rencontrer.

..

Invité

.

Un cancre devenu poète

J'admire ceux qui écrivent avec de très jolis mots
Quand, pour les comprendre il faut sortir un dico
Cela prouve qu'ils ont de très belles connaissances
Pour tous ces gens, laissez-moi tirer ma révérence

Alors que moi, tout petit, on me disait inculte
Je n'ai jamais pris cela pour une insulte
Chacun emmagasine ce qu'il a appris
J'étais un cancre, voilà c'est dit

Par contre, l'écriture ne me faisais pas peur
J'aimais bien raconter tout ce qui sortait de mon cœur
Je dois alors, en avoir gardé de beaux restes
Depuis cette dure enfance, je pense que je progresse

Loin de moi l'idée de me vanter
Tous mes poèmes sont là pour le prouver
Je dois cela à ma belle et gentille vivi, ma muse
Pour qui, grâce à elle, tant de si beaux écrits fusent.

.

Invité

.

Voyage en Suède

Je suis parti à ta conquête,
Je t'ai trouvé coquette.
Suédois aux blonds cheveux,
L'azur est dans vos yeux.

Dans ta campagne verte,
De bois tes maisonnettes,
Jaune ou rouge flamboyant
Pour éloigner les élans.

J'ai vu ton ile de Gotland,
Tes ajoncs sur ta lande,
Remparts de Visby
Vous marchez dans mon esprit,

Ancienne ville fortifiée
Tu as atteint ton apogée.
Tes champs entiers de menhirs,
Des Vikings on garde le souvenir.

Petit village de pêcheurs,
Tu conserves ton odeur.
Paysage surprenant et antique,
Tes côtes baignées par la Baltique.

Été au jour sans fin,
Hiver dans la nuit jusqu'à sa fin.
Ton hôtel de ville de Stockholm,
Coiffé de ses trois couronnes

Pour fêter le retour de l'été,
Ton mât du Mittsommer planté
Chaque année au milieu de tes prés,
Autour de toi l'on vient danser.

Oh ! Suède verdoyante,
Tu es très accueillante.
Tu m'as tendu les bras,
Vers toi j'ai fait un pas

Fête du mât du Mittsommer pour célébrer l'été

.

Invité

.

A l’école des poètes

Je n’étais pas studieux
Et rêvais bien souvent
Je m’en allais radieux
Sur les ailes du vent.

Le calcul me cherchait querelle
Quand l’alphabet était un jeu
Où chaque lettre nouvelle
Me menait en haut lieu.

Et sur mon cahier penché
J’avais l’esprit à l’envers
A la place de la dictée
J’écrivais de jolis vers

.

Invité

.

Les jets d'eau

Derrière moi les jours se multiplient,
J'entends une voix claire,
On me parle ? mais non c'est la pluie !
Entre les nuages un éclair.

A voir tomber l'eau pure venant du ciel,
Mêlée à celle des fontaines,
Une à une, petites gouttes à mon oreille,
Chantent la douce aubaine.

Mais que font donc tous ces anges là-haut ?
Alors de plus en plus hardis,
Ensemble jouent parfois avec les jets d'eau,
Au paisible jardin du paradis.

Et quand les cieux m'appelleront près d'eux,
Avec une brassée de fleurs,
Oh ! je partirai, juste en fermant les yeux,
Sans entendre vos pleurs.

.

Invité

.

Le jardin du sommeil

A notre affection ils ont été ravis,
Trop tôt, Dieu leur reprit la vie,
A ressentir une peine insensée
Pour tous ceux qui nous ont quittés,
D'où ils sont ne peuvent s'échapper,
Pourtant nous allons les veiller.

Le front incliné devant un crucifix,
A prier pour nos chers endormis,
Les avons-nous aimés suffisamment,
Alors qu'il en était encore temps ?
Tout bas nous nous interrogeons,
En faite nous cherchons leur pardon.

Nous pensons qu'avec quelques fleurs,
Nous pourrons ranimer leur cœur,
Ils restent chers à notre souvenir,
Croyez-vous qu'ils entendent nos soupirs
Une branche tombe de notre généalogie,
C'est un peu de nous qui meurt aussi.

Près des êtres qui nous ont chéris,
Plus tard nous dormirons aussi,
De ceux qui reposent sous la pierre,
Et si certaines âmes étaient en enfer ?
Elles sont sûrement au paradis !
Éternel jardin où s'endort la vie.

.

Invité

.

Blanches statues

Harmonieuses et blanches statues,
Vous ornez nos parcs, nos avenues,
Là, debout comme des apôtres,
Glorieuses, vous gardez la tête haute.

Sur votre piédestal fières
Vous étiez vainqueurs naguère,
Alignées comme des soldats de plomb,
La gloire affichée sur votre front.

Un vent léger vous effleure, vous caresse,
Vous vous adonnez à une indolente paresse,
On garde de vous l'image d'un gagnant,
Sculpterions-nous le visage d'un perdant ?

S'il pleut, sur vos joues coule une larme,
Est-ce le mauvais temps qui vous désarme ?
Vous qui êtes si belles dans le soleil,
Immaculées d'une blancheur sans pareille.

Jadis, vous atteigniez votre apogée,
Écrivain de votre plume, guerrier de l'épée.
De vos actes vous étiez à la hauteur,
Notre pensée en garde la grandeur.

Nous sommes toujours émerveillés,
Devant votre ultime beauté,
Les siècles passés vous attaquent,
Votre âme reste douce et intacte.

.

Invité

.

Je voudrais enflammer ta vie

Depuis tant d'années si dures
Avec ces matins obscurs
Je ne fais que pleurer
Sur mon papier

Des mots si purs
Sans cesse que je rature
Afin de te trouver les lignes
Comme pour te faire un signe

Je voudrais enflammer ta vie
Surtout que j'ai bien envie
De balayer la grisaille
Qui nous tenaille

Prendre tes mains
Et, t'enlacer les reins
Pour te murmurer tout bas;
Tu sais, je n'attendais que toi.

.

Invité

.

Peurs d'enfants

Les enfants ont souvent peur,
Ils éprouvent un sentiment d'horreur
Partout elle les accompagne
Et leur fait battre la campagne.

Autour d'eux tout semble grand,
Si souvent effrayant.
Lorsqu'il fait sombre,
Se faufilent des ombres.

C'est dans leur subconscient
Que se dessine un profil menaçant.

Dans la pénombre, d'horribles sorcières
Brandissant des balais pleins de poussière,
Les épouvantent et leur sourient
Ce n'est qu'un bouquet d'arbres rabougris,

Des tombes avec leur croix
A la place d'une barrière en bois,
Foncent sur eux, des fantômes terrifiants
Rien qu'une porte qui claque au vent.

Sont seulement dans leur tête,
Ces scènes qui les inquiètent.
Leur visage change de couleur,
On les plongeant dans la torpeur.

La peur est si poignante,
Un couteau au cœur elle leur plante.
Dans ses bras elle les étreint,
D'un amour malsain.

Sans cesse elle les poursuit,
Jusqu'au fond de leur nuit.
Auprès de leurs parents surpris,
Ils joueront les éternels incompris.

.

Invité

Le doux refuge

Ainsi le ciel veillait
Sur mon jeune âge
Quand une voix descendait
Sur les ailes de l’orage

J’accrochais mes pensées
A mon pas solitaire
J’allais dans les allées
Du jardin salutaire.

Là, dans la fontaine
Mon âme pensive
Noyait la fin certaine
De l’enfance naïve

Venue du firmament
Une brise légère
Éteignait doucement
La flamme passagère.

Alors, j'ai ainsi reçu
Un rayon de bonheur
L’orage aura vécu
Un instant et se meurt.

.

Invité

.

Fanfan, mon premier amour

Moi, le vilain petit fertésien
j'ai failli devenir parisien
La première fille que j'ai aimé
Dans la capitale y était née

Un jour, à une fête foraine
Une belle créature s'y promène
Elle n'avait que seize ans
Moi, vingt depuis peu de temps

Un coup de foudre immédiat
Très vite elle tomba dans mes bras
Ensemble nous sommes restés
Un parfait amour nous avait gagné

Nous étions sous le charme
Mais, son jeune âge fut le drame
J'en épousais alors une autre
Ce ne fut pas une bonne chose

De ce très mauvais choix
Dont je m'en suis voulu mille fois
Pour me changer les idées
Je suis parti naviguer huit années.

Puis, un beau jour, lassé de la mer
Je mis pour toujours pied-à-terre
Je voulu une nouvelle épouse
L’espérant pour toujours

Une divorcée avec enfant,
Dont je devins vite son amant
Un beau jour m'entraîna à la mairie
Et, je recommençais une nouvelle vie.

Je ne devais pas être fait pour le mariage
Car, à nouveau, ce fut un affreux naufrage
Comme de l'union, des jumeaux étant nés
Pour eux, ensemble, nous sommes restés.

La cohabitation se fit sans trop de heurts
Mais, nous étions très loin du bonheur
Ils restaient les sorties, vide-greniers
Il fallait bien nous occuper
.
Avec l'achat d'un ordinateur
J'écrivais ma vie de navigateur
Une nouvelle passion en moi naquit
Un jour, surfant sur le net je découvrais vivi..

.

Invité

.

Quand ma chérie m'a raconté ses ennuis...

Quand ma chérie m'a raconté ses ennuis
C'est qu'elle a deviné en moi l'ami
Qui comprendrait ses soucis
Pour cela, je lui dis merci

Merci d'avoir bien choisi
Celui qui le restant de sa vie
Comme il lui a toujours promis
Prendra bien soin, de sa belle Sylvie

Depuis bien longtemps, cette rencontre
Qui est pour nous, sans encombre
Est devenu un amour parfait
J'espère durable à souhait.

.

Invité

.

Tout le bonheur du monde

Même si je deviens ton souffre-douleur
Ce sera pour moi, que du bonheur
Savoir que sur moi, tu te défoules
Ancien marin, je ne crains plus la houle

Je n'ai pas à critiquer tes sautes d'humeur
Je sais que ta vie est jonchée de malheurs
Alors, si quelquefois tu ne peux te retenir
Je serai toujours présent pour te contenir

Toute ta vie, n'as été que désespoirs
Depuis que l'on s'aime tous les soirs
Tu commences à retrouver l'espoir
De chasser de toi, les idées noires

De mon côté aussi, rien ne m'a sourit
Essayons ensemble, une nouvelle vie
Chacun de nous le désirons avec envie
Merci de me laisser t'aimer, belle vivi.

.

Invité

.

Toi Réunion

Ile sous le vent,
Je pense à toi souvent.
Perdue dans l'océan Indien,
Oui, de toi je me souviens.

Là-bas j'étais ravi
Loin de ma France j'étais parti.
Je revois ton paysage inattendu,
Ton peuple, toutes races confondues.

Tes arbres rouges sang
Que l'on appelle flamboyants,
Tes cocotiers et tes manguiers,
Tes cases colorées.

Sur tes plages de sable fin,
Des pistaches dans la main,
Je marchais inlassablement
Bercé par de doux sentiments.

Tu as un drôle de langage,
De toi je garde une jolie image.
Tes cieux colorés de bleu
Ton paysage était beau à mes yeux.

Jamais je ne t’ai pas oublié
Dans mon cœur tu es resté.
Près de toi si je le pouvais,
L'instant d'un voyage je reviendrais.

.

Invité

J'aime bien la poésie Le doux refuge !!
Merci pour le partage

Invité

Mon chéri, comme je t'aime

Un beau matin il a fallu un tout petit rien,
Mais, qui nous a fait tellement de bien.
Par une belle journée ensoleillée
Nous, on s'est rencontré.

Cette amitié pure, remplie de bonheur,
Qui, sans faillir, nous va droit au cœur.
T'avoir, ma Sylvie, me remplit d'espoir.
Quand mes yeux sont brouillés de noir.

J'aime nos petits moments,
Où nous discutons tendrement
J'aimerais tant pouvoir te consoler
Et, ainsi ne plus jamais te voir pleurer.

.

Invité

L'amour, à son aimée que l'on porte...

L'amour, à son aimée, que l'on porte
Ne doit être que de l'émotion forte
Il faut partager nos sentiments
Pour avoir de bons moments

Ceci n'est que la base de l'amour
Que l'on devrait appliquer toujours
Si cela était fait par tous les amoureux
Il n'y aurait alors que des couples heureux

C'est ce que j'applique pour ma chère vivi
Imaginez alors, le bonheur qui s'en suit
Joies et passions font notre quotidien
Un bon remède pour se sentir bien.

Invité

Invité

.

Une petite peur pour rien...

Comme je voudrais tellement me tromper
Mais je crois que ma mission est terminée
Car, je me sens bien moins utile qu’avant
Mais je vois bien que tu m’aimes pourtant

Avant, le midi tu ne pouvais pas te passer
De te connecter pour à tout prix me parler
Et surtout le matin tu ne pouvais pas partir
Sans ton petit poème qui te faisais revivre

Ne prend surtout pas cela pour une injure
Pour toi mon amour est toujours aussi pur
Je mets cela sur une petite peur passagère
Il ne faudrait surtout pas qu’elle exagère

D’ailleurs ce soir, tu m’as dis le contraire
Qu’on s’aime encore comme à l’ordinaire
Je suis donc pleinement rassuré cette fois
Pardon ma chérie d’avoir eu peur pour toi..

.

Invité

Nous vieillirons ensemble

Même si mon dernier amour est venu bien tard
De tendresse, de gentillesse, je ne serais pas avare
Je suis encore en âge de rendre une femme heureuse
Elle sait que, de ce côté, jamais elle ne sera malheureuse

Dès le premier jour où l'on s'est rencontré
Je me suis juré de toujours la garder
Elle souhaitait la même chose de son côté
L'amour, entre nous, est bien ancré.

J'ai, pour elle, tellement de bonnes intentions
Nos vieux jours seront pleins d'affections
Il n'y a que la mort qui nous séparera,
Nous n'en sommes pas encore là.

.

Invité

.

Nouvelle journée nouveau poème

Nouvelle journée, nouveau poème à poster
Pour toujours, faire plaisir à mon aimée
Que lui dire de plus, qu'elle ne sait déjà
Sauf que j'aimerai la prendre dans mes bras.

Elle sait très bien que je l'aime et l'adore
Alors, je lui prouverai, encore et encore
Pour ne pas que d'idées, ma tête soit vide
Il me faut donc, la garder toujours lucide.

Chaque jour, chaque minute je pense à elle
C'est donc bien la preuve, que je l'aime
Jamais elle ne cessera de me lire et relire
Merci Dieu de m'avoir donné le don d'écrire.

.

Invité

.

Ma sirène

Ancien marin de commerce
J'ai sillonné tous les océans
Mais ce n'était que le néant
N'ai jamais trouvé d'ivresse.

J'ai enfin découvert l'allégresse
Quand une sirène m'a attrapé
Elle m'a capturé dans ses filets
Tout plein de belles promesses

Vieux loup de mer que j'étais
J'ai trouvé mon port d'attache
On s'adore sans aucune tache
C'est bien celle que je voulais.

Et plus rien ne me fera repartir
Le bateau est à jamais amarré
Dans ses bras, je veux y rester
Je me suis promis d'y mourir..

.

Invité

Le soleil est dans mon cœur

Si un jour le soleil est entré dans ma vie
C'est bien sûr grâce à ma belle vivi
Trois mille poèmes, dix ans de bonheur
Remplit de joies, sans aucun pleur.

Il était dit, que l'on devait se rencontrer
Apparemment, longtemps cela devrait durer
Puisque, pour toujours, on se l'est juré
Qui pourrait nous empêcher, de nous aimer.

Jamais un mot plus haut que l'autre
Elle ne veut que se blottir sur mon épaule
Seul inconvénient, tout cela est virtuel
Nous serions encore plus heureux dans le réel.

Ce serait l'aboutissement de notre amour
Je pense que nous le mériterons, un jour
Mais, ma vivi a trop souffert des hommes
Elle me dit, c'est très bien comme nous sommes.

.

Invité

.

Le Batilus, plus gros pétrolier de monde, capacité 450 000 tonnes 'le petit cargo' sur son bâbord fait 130 M de long...

Ma jeunesse autour du monde...

Trois tours du monde eurent raison de ma jeunesse
Alors, j'ai quitté cette vie sans aucune tristesse.
Me disant, qu'au moment de ma vieillesse
Je me rappellerai ces aventures célestes.

Navigant, comme beaucoup d'autres, naguère
Huit années, sans vraiment toucher Terre
Une période heureuse, loin d'être amère,
Une partie de ma vie, passée en mer...

Je suis parti dans des lieux lointains
Sur les conseils d'un bon copain.
Jamais je n'aurai dû être marin
C'était loin d'être mon destin.

Aucun regret malgré tout
Du monde j'ai tout vu
De la joie, j'ai eu
Sans dégout

.

Invité

.

Si aujourd'hui, je mords à la vie
C'est bien grâce à ma belle vivi
Mes soucis d'hier sont loin déjà
Quelqu'un m'a enfin ouvert ses bras

Sans savoir comment sera fait demain
Il suffit de suivre notre chemin
Il est impossible que tout s'arrête
Quand chaque soir nous sommes en fête

Nous attendions patiemment de notre côté
La personne que l'on devait aimer
Chacun ayant trouvé son partenaire
Maintenant, chercher n'est plus nécessaire.

.

Invité

.

Avant moi, que faisais-tu ?

Une nouvelle semaine qui commence
Apportant un nouveau lot de romance
De très gentils écrits que je vais offrir
A ma tendre chérie qui me fait revivre

Si un soir, je manque d’avoir des idées
Le lendemain, je suis reparti en beauté
Cela s’appelle tout simplement l’amour
Que j’ai toujours pour toi, tendre amour

Il ne faut surtout pas gâcher cette liaison
Qui nous unit en force et grande passion
Un jour tu as dis : Avant moi que faisais tu
Ma réponse fut : Mais je t’attendais vois tu.

.

Invité

.

Nous entendrons nos cœurs respirer

Je te promets des matins pleins de bonheur
Nous entendrons respirer nos cœurs.
Pour réveiller nos corps endormis
Nos gestes seront lents et précis.

Pendant des temps très lointains
Nous nous aimerons c'est certain
Alors, pour que l'on s'adore ainsi
Il nous faudra bien plus d'une vie.

Jamais je ne regretterai notre union
Elle m'a empêché de perdre la raison
C'était notre destin de se rencontrer
Mon Dieu, comme c'est bon de s'aimer.

.

Invité

.

Plaire a son amour

L'amour est un sentiment, sans juste milieu
On l'on se sent triste, ou bien trop heureux.
Pour l'homme rustre, l'amour c'est la chair
Mais, pour le gentil, c'est surtout lui plaire

Lui plaire, c'est de lui raconter, chaque soir
De jolies choses pour lui faire vraiment voir
Les bons sentiments que l'on aurait pour elle
Celle à qui on est fier de lui dire... Je t'aime !

Je t'aime, ce mot à la vertu de mettre en joie
Celui où celle qui, le méritant bien, le reçois
Toi ma chérie, de ces gens-là, tu en fais partie
Et, de te le dire toujours, me reste toute ma vie.

.

Invité

Un des premiers poèmes pour ma chérie

Ne croyez surtout pas, que je vous veux dans vos draps
Je voudrais simplement vous prendre dans mes bras
L’amour, ensuite devrait faire sa douce besogne
Et, nous aurions plus rien à envier à personne.

Notre grande patience est récompensée
Nos cœurs, pour toujours, ont fusionner

Chacun sur terre devrait trouver son contraire
Il y a toujours quelqu’un qui devrait nous plaire
Je pense que c’est là, le sort pour tout être humain
Qu’un beau jour chaque personne rencontre son destin.

.

Invité

Un mot, des mots, nos mots...

Un mot, que c'est beau un mot, quand on l'emploie comme il faut
Amour, aimer, chérie, ange, ma beauté... J'en oublie de plus beaux
Encore faudrait-il les mettre et les assemblés bien comme il se doit
En désordre, tous beaux qu'ils soient, on pourra lire n'importe quoi

Ange chérie, beauté d'aimer d'amour, n'incite pas vraiment au plaisir
Alors, que mis dans un ordre différent, il évoquera ainsi le doux désir
Chérie, mon ange d'amour, votre tendre beauté m'incite à vous aimer.
Ainsi, aucune amoureuse au monde, à mon avis ne pourra s'y refuser

Pour toi, chérie, je n'ai pas besoin de chercher ce que je veux te dire
Les mots les plus doux, les phrases les plus belles me viennent si vite
Depuis si longtemps maintenant, je pense bien à toi et là, je m'inspire
T'aimer, t'adorer, est si simple pour moi, pas besoin que tu m'y invite.

.

Invité

Je manque à mon devoir de bon amant

Je manque à mon devoir de bon amant
Car, ce soir, pour la toute première fois
Vivi je n’ai rien à te mettre sous la dent
J’en suis vraiment bien désolé crois-moi

La fatigue et les émotions de la semaine
Auront enfin réussi de me déconcerter
Il faudra bien alors, que je me reprenne
Et, à nouveau faire voir que tu es aimée

Mais, je compte sur ta grande diplomatie
Et dès demain soir tout redeviendra pareil
Je pourrai alors te dire, sans aucun soucis
Chérie, pour toi je serai toujours le même.

.

Invité

Merci bien

Invité

Je suis arrivé à temps

.

Tellement habitués à se parler tous les soirs
Que nous sommes en plein désespoir
Il aura suffi d'une panne d'ordi
Pour que pleure ma vivi

Elle n'a plus son momo
Qui pour elle, est un héros
Elle dit toujours qu'elle m'aime
Voyez-vous, je la crois sans peine

Sans son sauveur, elle est perdue
De sa misère, elle n'en parle plus
Pour chasser tous ses tourments
Je suis arrivé au bon moment

Quand, de vivre elle n'avait plus envie
Je lui ai fait reprendre goût à la vie
Sa soeur dit que je mérite une médaille
Pour avoir gagné cette dure bataille.

.

» vidéos pps